Dans un récit qui brouille les frontières entre fiction et réalité, Christophe Honoré rend hommage à son actrice fétiche en se penchant sur son héritage et celui des “monstres sacrés” que sont ses parents. Il nous plonge ainsi dans une troublante mise en abyme cinématographique et métaphorique. L’occasion de rejouer également quelques scènes iconiques, dont celle de la fontaine dans La Dolce Vita, Palme d'Or en 1960. Ce Marcello Mio aura-t-il le même destin ? Réponse le 25 mai !