Rangoon, Birmanie, 1918. Edward, fonctionnaire de l’Empire britannique, s’enfuit le jour où il devait épouser sa fiancée, Molly. Déterminée à se marier, Molly part à la recherche d’Edward et suit les traces de son Grand Tour à travers l’Asie.
Le noir et blanc expressionniste, les hommages glissés au cinéma, les jeux d’ombre et de lumière, les rimes visuelles : la dérive, car c’en est une, devient de plus en plus fascinante à mesure que le récit tend vers le mélodrame, sans perdre de sa magie. Grand Tour tient de la pure alchimie.
Télérama